Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

samedi 18 septembre 2010

"Comme il y voyait trouble, il décida d'être toujours ivre". Benoît Barvin in "Pensées contrefaites"

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Bela Lugosi, Le Monstre de minuit (1942)


"OK, Madame la comptable! Puisque tu parles à tort et à travers, 
je vais te faire définitivement taire", chuinta l'exécuteur des basses œuvres 
d'une certaine milliardaire.

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Boris Karloff, Frankenstein (1931)


"Vous voyez ses mains, fit le Monstre du FMI. Elles en ont serré, 
des paluches de chefs d'état! Et toujours avec profit, 
grâce à mon venin ultra-libéral
dont mes ongles sont imprégnés..."

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Martha Mattox, The Cat and the Canary (1927)



"Dormez, Peuples de la Terre! Dormez mais consommez encore 
et toujours, sans rechigner, même si vous n'avez plus une thune, 
j'ai encore quelques îles pour milliardaires à acheter".

(LA GRAND-MÈRE DU PRÉSIDENT DU FMI 
AVAIT DEPUIS LONGTEMPS TRACE LA VOIE)

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Oliver Reed, The Curse of the Werewolf (1961)


"Ah! Ma dâche est drop fazile!" se plaignait le monstre du FMI. 
"Dout ze que Ch'entrebrends, che le réussis, les doigts tans le nez. 
ze boulot de brévarigadeur est d'un ennui..."

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Boris Karloff, The Mask of Fu Manchu (1932)


"AHAHAHA! Vous avez vu à quoi vous ressemblez 
dans mon miroir magique!" ricana l'exécuteur 
des basses œuvres du capitalisme mondialisé. 
"Ce n'est pas beau à voir, hein?"

(DE L'AVIS DE SES RARES POTES, CE TYPE FUMAIT  TROP)

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 Blanche Baptiste

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