Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

jeudi 28 avril 2011

"sonotone cherche à jouer en sourdine". Benoît Barvin in "Annonces déclassées"



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"Le monde appelle fous 
ceux qui ne sont pas fous de la folie commune."

[Madame Roland]

"Oh Mon Amour...
- Mais qui êtes-vous donc, Madame?
Lâchez-moi tout de suite!"

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"Le premier degré de la folie 
est de se croire savant."

[Fernando de Rojas]


gralon.net


"Allez, on tape encore sur nous...
C'est pas parce qu'on est dédoublés qu'il faut en profiter"

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René Magritte


(Mais une blague (à tabac?)

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Dans les secrets du trafic d’art

   (...) Le 21 août 1911, Vincenzo Perrugia se cache dans un placard à balais du musée du Louvre. Il attend patiemment la fermeture pour s’emparer de la Joconde. Ce n’est que deux ans plus tard, alors que ce nationaliste italien s’apprête à vendre l’œuvre de Léonard de Vinci au musée des offices de Florence, qu’il est arrêté. De telles histoires alimentent sans cesse la une des journaux, elles tiennent le public en haleine et donnent lieu à de multiples théories sensationnelles d’experts. 
   De l’Hôtel Drouot au Musée Gardner en passant par les églises et les collections privées, les tableaux, chefs d’œuvres et objets d’art volés représentent un marché de 6 milliards de dollars. Soit l’un des plus prospères du commerce illicite international. Ce qui, en France, équivaut à 1444 vols déclarés dont certains peuvent mettre à jour la faiblesse des systèmes de sécurité d’institutions que l’on pensait inviolables. 
   Il n’y a qu’à se souvenir du cambriolage, en juin dernier, du Musée d’art moderne de la ville de Paris durant lequel cinq toiles de grands maîtres, dont un Picasso et un Matisse, ont été dérobées. Montant du butin ? 100 millions d'euros. (...)
Lire l'article sur:

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"Un repas est insipide,
s'il n'est assaisonné d'un brin de folie."

[Didier Erasme]

"Tu connais celle du fou qui repeint son plafond?
- Oui... Hihihi... Raconte-la encore, elle me fait toujours rire"

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"Ces propos de Boniface 
- de rat (et encore je me retiens) -
me stupéfient. 
Je vais me réunir avec Moi 
pour savoir quoi répondre"


vendredi, 22 avril 2011

Réponse à Jean Daniel sur BHL



   (...) Certes, on peut se demander si BHL sert des causes ou s’il se sert d’elles. Que de publicité donnée à ses actions, réelles ou supposées, par rapport à toutes les ONG présentes au quotidien sur tous les fronts ! Mais le problème est plus profond. BHL est en fait dans une situation paradoxale : quasi unanimement célébré par les élites politiques et médiatiques, il est largement rejeté par le public. L’adoration des premiers est parfois sincère, parfois servile. Le rejet du second est parfois ironique, parfois violent. Serait-il le fruit de la jalousie ? Non. Tout simplement, le public est informé des différentes affabulations de BHL, de ses rapports élastiques avec la vérité, du caractère mensonger de nombre de ses affirmations.

   Qu’il se mette en scène passe encore. Mais qu’il affirme être ami de Massoud avant de l’avoir rencontré, un proche de la famille de Daniel Pearl alors que ceux-ci ont jugé plus que sévèrement sa "romanquète", qu’il ait multiplié des témoignages de ses exploits dont de nombreuses contrenquêtes ont montré le caractère fallacieux, tout ceci et bien d’autres choses encore, pour ne pas parler de l’affaire Botul, sont connus et provoque le rejet du public.
   Celui-ci est d’autant plus fort que les élites médiatiques, bien que sachant tout cela (s’ils ne le savent pas c’est qu’ils sont vraiment mal informés), font néanmoins preuve de complaisance avec BHL, cette connivence suscite un supplément de colère du public, qui se rend bien compte qu’on essaie de le tromper.

   On lui reproche également ses indignations sélectives, qui lui font condamner les bombardements de population civile en Libye, alors qu’il les soutient à Gaza ou au Liban. (...)
Pascal Boniface

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Luc Desle

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